"Le Monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n'en lisent qu'une page." Saint Augustin.

samedi 1 mars 2008

En aparté: Dubaï

Il y a eu la Chine. Puis le Japon. Puis cette discussion dans un couloir de France Télévisions. Pas le choix, les abonnés Bouygues Telecom y captent mal (contrairement à la chaîne de l'autre côté de la Seine curieusement). Puis ce mariage et une proposition: Dubaï. Pourquoi pas?
Mon premier voyage depuis le lancement du projet TDM.



Il y a les endroits qu'on visite et il y a les personnes avec qui on le fait. Si fascinant que soit Dubaï dans sa quête d'impossible, le décor Disneyland de là-bas n'aurait jamais pris vie sans mon guide première classe. Merci à lui.

Découvrir les buildings et les chantiers à bord d'une Porsche décapotable filant à 180 km/h sur une autoroute urbaine toute neuve, forcément, ça rafraîchit. Même dans une ville dont le slogan pourrait être fuck le piéton (j'avais pas traversé d'autoroute depuis mes 11 ans). Se faire ouvrir la portière par un larbin à l'entrée des grands hôtels, forcémént, ça fait bling bling. Passer la soirée dans une boîte pleine de blondes motivées, évidemment, on s'en souvient. Bronzer sur la plage privée de l'hôtel le plus haut du monde, évidemment on aime bien.






















Sans fixeur en revanche, on se lasse au bout d'un jour et demi. Les camps de travail rempli par le sous-contient indien, la population locale réduite à 20% de la population totale (imaginez en France!), cette intenable volonté d'exister en accéléré ne font pas oublier le vide ambiant, passage obligé pour des Emirats arabes unis, âgés d'à peine 35 ans.


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