Ka mate ! Ka mate ! Ka ora !
Ka mate ! Ka mate ! Ka ora !
Tenei te tangata puhuru huru
Nana nei i tiki mai, Whakawhiti te ra
A upane ! ka upane !
A upane ! ka upane !
Whiti te ra ! Hi !
Je meurs ! je meurs ! je vis ! je vis !
Je meurs ! je meurs ! je vis ! je vis !
Voici l'homme poilu
Qui est allé chercher le soleil
Et l´a fait briller à nouveau !
Un pas ! Un autre pas !
Un pas ! Un autre pas !
Devant le soleil qui brille ! Hi !
Kia Ora,
Mon peuple est fort.
Mon peuple est fier.
1000 ans avant ce jour, il a quitte la mythique Hawaiki.
A bord d'une simple waka (pirogue), il a atteint Aoteoroa, le pays du long nuage blanc.
Celui que le Pakeha (l'homme blanc) appelle Nouvelle-Zelande aujourd'hui.
Ici, nous avons construit nos legendes et invente nos chants.
Et puis le Pakeha est arrive.
Et avec lui ses ecrits et ses mousquets.
Et mes ancetres guerriers se sont entre-tues.
Et puis, ils ont fini par se relever.
Car mon peuple est fort.
Car mon peuple est fier.
Aujourd'hui, villes et rues portent nos noms.
Preuve du respect de nos anciens colons.
Car si le monde entier connait l'ile des kiwis (les Neo-Zelandais blancs)
C'est grace au haka des maori.
De leur tenue a leur regard.
22 hommes tout en noir,
Langue tiree en signe de defi,
Quand chez tant d'autres, elle n'est que symbole de moquerie.
La plus belle des danses, la plus belle des equipes, le plus beau des sports.
Mais tout cela va bien au-dela du folklore.
Les mokos (tatouage) qu'arborent nos visages,
Ne font pas que distraire le visiteur amuse,
Ils protegent notre identite, ils sont notre heritage.
Le monde change, nos traditions perdurent.
Ainsi survit notre culture.
Ainsi survit l'ame des guerriers.
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