J'aurais bien voulu ajouter un tas de trucs intéressants mais mon camarade a parfaitement résumé la situation (et avec son style retrouvé, que ça lui plaise ou non).
Je me permets de préciser qu'il n'est tout de même pas désagréable de marcher en short à la mi-mars. Par ailleurs, une ville sale et bruyante ne constitue pas forcément un problème (cf Naples, Marseille). Sauf quand elle est dénuée de toute forme de charme, ce qui est le cas dans l'affaire qui nous réunit aujourd'hui dans ce tribunal Votre Honneur.
Je partage les regrets de Julien concernant les îles. On a raté les Cyclades. On a eu tort. On a été cons. J'ai également été surpris par l'absence de vie, d'enthousiasme à Athènes, qui, pour paraphraser mon célèbre binôme, a été le centre du monde pendant plusieurs centaines d'années. "Doit y avoir de quoi faire dans ce bordel." Ben...non, Dude.
Certes, je n'ai pas d'affection particulière pour l'espèce humaine mais 80% des Grecs qu'on a rencontrés méritaient un coup de pied au cul, à défaut de balle à expédier dans leur tête (et à faire payer à la famille), pour leur absence totale de...tout. Là-bas, par exemple, un serveur ne sert pas. Il jette. Comme je l'ai dit au cours du séjour, la Grèce, c'est un peu comme une grosse moche et conne qui voudrait en plus qu'on lui paie à boire sous prétexte que son papa est célèbre.
Détail pas vraiment d'importance pour conclure mais que je signale au passage sur le fait que Julien et ma (de plus en plus grasse) personne partons au Japon, en Grèce, passons du temps ensemble, tout ça. Non, nous ne sommes pas ce que vous croyez que nous sommes. Il n'y aucune fierté à en tirer mais la question taraudait sans doute vos esprits malades. Elle n'a plus lieu de se poser.
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